Le plus foufous des toutous au coeur tendre et d' une exquise gentillesse apparait pour la toute première fois en 1934, année à laquelle d' ailleurs était née Donald Duck.

    Mais les origines de Goofy remonte bien au delà de cela, et son histoire débute officiellement en 1932 dans "Mickey's Revue" dans le rôle de "Dippy Dawg". Ce personnage, au rire singulier et plutôt agaçant pour le publique du dessin animé, évoluera au fil du temps pour devenir celui que vous connaissez aujourd' hui en 1934 donc: Goofy (Dingo en français). La naissance de Dingo n'est d' ailleurs pas dû au hasard, pas plus que celle de Donald Duck  qui faisait ses débuts dans Une Petite Poule Avisée (1934)  et se voyait octroyer des films en son nom la même année. A cette époque, les dessinateurs eurent bien du mal à trouver de nouveaux gags pour leur petite souris, ainsi nacquirent les deux acolytes de Mickey qui allaient faire les 400 coups avec lui, dans un trio de choc entre l' honnête Mickey, le caractérielle Donald et le brave Goofy.

   Pourtant, Dingo allait avoir lui-même à des cours métrages personnelsà partir de 1938, en compagnie de son animal de compagnie dans "Dingo et Wilbur". En effet, ce personnage d' une exquise gentillesse mais d' une naïveté extrême fut par la suite le nouveau héros d' aventures intrépides à but tutoriaux et totalement groteques à la fois. Les scénaristes étaient par ailleurs bien embêtés puisque la voix original de Goofy par Pinto Colvig s' en est allé cette même année, ce qui donna naissance à un nouveau style scénaristique: le but de Goofy était de démontrer tous les savoir faire d' une pratique. Ce qui rendait drôle ces films, c' est le paradoxe des actions de Goofy par rapport à la voix off explicative. Dingo fut donc aviateur, skieur, boxeur, danseur ou encore golfeur , et se prêtait à des tutoriaux ludiques.

   Dans les années 50, Goofy évolua encore et se tranforma ainsi en "M. tout le monde" américain ou tout un chacun pouvait se voir en lui. Toujours dans une même optique "d' apprentissage", Goofy avait désormais un fils, une femme, et il est impossible que l' on ne se retrouve  à un moment ou à un autre en lui: sur la route, dans le jeu, dans la pratique du sport ou dans ses insomnies.

   Toujours présent dans les BD, Goofy dit Dingo n' est pourtant plus aussi populaire qu' il ne l' était, même pendant les années 90 ou il fit un tabac avec Dingo et Max. Bien que tout le monde le connaissent, il apparait bien souvent, si ce n' est tout le temps, aux côtés de Mickey Mouse, dans des rôles secondaires, et il serait malheureux de passer à côté de ces trésors que furent ses films de l' époque.

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    "It' s time to [re]play de music !"

   Jim Henson, marionnettiste, eu la brillante idée en 1976 de créer un show, géant, titanesque et loufoque, en créant un spectacle dédié spécialement... aux marionette ! Inutile de vous présenter cette fabuleuse émission diffusé à l' époque sur Antenne 2, qui faisait ravage: Le Muppet Show. Totalement inédit, ce show faisait des milliers d' admirateurs. Comique, original, cru et cynique, le muppet show est un festival de gags en tout genre, en compagnie de ses guest stars. Près de 40 ans plus tard, les plus nostalgiques pensent encore aux belles années Muppets & Co. Certains auront même tenté de redonner vie aux fameuses marionettes, comme Brian Henson, fils de Jim Henson, qui poursuivit le show sur deux saisons, ou plus récemment recréé par Sébastien Cauet en 2006, show qui s' éteignit en un mois à peine, faute d' audience...

   Pourtant, faute de succès, le cinéma continue à aimer cette belle époque, et continue toujours à les produire, jouant sur cette étiquette "has been", et c' est le cas de ce long métrage sorti tout récemment en France ce mai 2012: "Les Muppets: le Retour" ("The Muppets").

   Gary et Walter sont deux frères très proches. La vie de Walter change lorsque celui-ci découvre le fabuleux Muppet Show. Dès lors, son plus grand rêve est de rencontrer ses idoles. Loin de penser que de nos jours, le groupe est dissout, Walter se rend avec son frère à Los Angeles, et découvre avec effroi, qu' en plus que les locaux du Muppet Show sont totalement désolés, un vil promotteur de pétrol, M. Richman, tente de s' emparer du studio afin d' y extraire un puit de pétrol pour s' enrichir. Walter tente alors de retrouver Kermit afin de monter un ultime dernier Show pour rassembler les dix millions de dollars nécessaire à la sauvegarde du Muppet Studio.

   Les Muppets font leur grand come-back sous la caméra de James Bobin. Pourtant, même si l' esprit y est pourtant bien gardé, on y découvre des personnages parfois devenus fades. Exit le Kermit fou-fou et plein de folie, celui-ci après 40 ans a franchement mal vieilli et est franchement devenu un sacré dépressif, ce qui a dû lui valoir le titre du genre "drame" sur Allociné !  Eperduement amoureux de Peggy the Pig, celle-ci s' évertue à l' éviter tout le film coûte que coû... Non attendez... on sent déjà que quelque chose va mal chez Kermit. IL N' A JAMAIS VOULU DE PEGGY dans le Muppet Show !! Voilà la grande déception du film. Derrière cela, le producteur s' amuse avec un malin plaisir sur des clichés pour nous accrocher au film. Et mine de rien, ca marche, sans compter que la bande son signée Christophe Beck, est exceptionnelle. On entre d' ailleurs en plein dans les points forts du derniers long métrage sur les Muppets. Le film a d' ailleurs été récompensé par un Oscars pour la musique "Man or Muppet" écrite par Bret McKenzie. Pourtant, les autres musiques du film n' ont rien à envier à cette dernière tant les performances dépassent parfois l' exceptionnel, comme pour l' interprétation de Chris Cooper (Tex Richman) dans "Let's talk about me" ou la grande finale des Muppets dans "Rainbow Connection".

En somme, si les Muppets s' annoncent ne pas être une véritable révolution dans l' Histoire gravée des Muppets, le film se savoure grâce à ses compositions inédites, originales et alléchantes. Bien sûr, les clins d' oeil à la série d' origine sont tout de même multiples, mais une telle audace aurait été vaine, voir scandaleuse dans notre société actuelle, et les Muppets ont bel et bien évolué avec leur temps, pour nous servir des gags enfantins trop puérils compte tenu de la longueur noire qu' ils pouvaient atteindre à l' époque.

A voir, et à écouter surtout !

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     Alors que Walt Disney travaille pour le monde de la publicité à Kansas City pour la "Kansas City Slide Company", celui-ci se lie d' amitié avec une icône fondatrice de ce que deviendra son entreprise: Ub Iwercks. Tous deux ont en commun une enfance difficile, et surtout, un amour certain pour l' animation. Disney était un entrepreneur né, tandis Ub Iwerks se consacrait corps et âmes, et ce n' est pas peu dire, dans le dessin et, le hasard faisant bien les choses, se complétaient donc parfaitement. En cette période où l' animation n' était rien d' autre qu' un passe temps sans rendement, les deux hommes avaient cette même ambition de se lancer dans ce domaine qui dans les années 20 n' était pas un métier et très peu rentable. Les techniques d' animations en cette ère est tout à fait simpliste: de simples photos immobiles coupés dans du carton. Et c' est pourtant ce qui a poussé les deux hommes à s' essayer dans l' animation. Disney emprunte donc une caméra et expérimente avec son ami des gags animés ayant pour thème les faits d' actualité. Ces courts métrages furent vendus dans le cinéma local, et encouragea très vite Disney et Ub à fonder leur société. Bien que Disney eut comme projet ambitieux de reproduire en image de synthèse de grands contes,le résultats furent décevants.

    En parallèle de tout cela, l' animation gagnait en succès avec notamment Felix le Chat, mais c' est "Out of the Inkwell" traduisez "Hors de l' encrier" de Max Fleischer qui attira l' attention de Disney: l' histoire d' un clown animé sortant d' un livre et évoluant sur des photographies de prises réelles. Mais loin de se contenter de copier l' idée déjà ingénieuse, Walt Disney décida de créer tout à l' inverse une petite fille de notre monde réelle qui évolue dans un monde totalement animé. Ainsi nacquit les "Alice Cartoons". Bien que le projet fut pleinement ambitieux, les finances lourdes de ces films ont coûté la jeune entreprise de Disney. Mais Walt ne se laissa pas décourager pour autant. Dessins sous le bras, sans le sous, il rejoint son frère en Californie et écrit lors de son voyage la lettre de son ultime chance de sauver ses projets auprès d' une distributrice new-yorkaise réputée du nom Margaret Winkler. Celle-ci voyait en Alice un grand potentiel. Elle acepta donc et avec la signature du contrat naquit le Disney Bros. Studio tenu par les deux frères.

    Très vite, la série des Alice arrivait à bout de souffle, et pour cause, Margaret Winkler cède sa place à Charles Mintz qui se veut très critique sur la série et c' est lorsque ce derniers trouva une annonce de Universal voulant sortir son premier dessin animé qu' il poussa les frères Disney à faire preuve d' originalité.  Il fallait à Disney un nouveau personnage, la mission fut bien sûr confié au talentueux Ub Iwerks. C' est ainsi qu' en 1927, un chanceux lapin fit son apparition sur les écran du cinéma, Oswald.

    Oswald le lapin chanceux, très peu connu aujourd' hui, était pourtant un véritable phénimène à son époque. Il marque le début de la carrière de Walt Disney dans le monde de l' animation, et propulse Ub Iwercks au sommet de son art. De nombreuses choses ont été faite avec ce petit lapin courageux et téméraire, avec les premier plans en mouvements avec la caméra embarqué dans un tram qui dévale une pente, jusqu' aux détails des ombres dans "What a Knight", l' un des épisodes phare d' Oswald. Satisfait du résultat, Charles Mintz et Universal ont donc signé un contrat pour 25 épisodes d' Oswald. Ub Iwercks produisait ses dessins en un temps records, chaque film sortant avec seulement 2 semaines d' intervalles chacun ! Oswald plaisait grandement au publique, et les affaires prospéraient. Pourtant, une conspiration allait se lever devant Disney qui se vit dérober et son personnage, et son équipe par Charles Mintz qui ne manqua de rappeler à Disney que Oswald était le produit de Universal, et non de Disney. Désemparé, Disney repart au pays sans équipe ni personnage, mais une seule personne était resté fidèle au poste, son meilleurs ami, Ub Iwerks, par qui Mickey Mouse allait naître de sa main en un temps record une fois de plus avec "Crazy Plane".

      Nous en sommes en 2006 et 81 ans sont passés depuis la perte du mignon petit lapin qu' était Oswald, et qui avait déjà sa propre personnalité, comme Disney savait déjà bien le faire. Disney Company annonce enfin qu' il récupère Oswald dans ses studios, et qui fera parti de son héritage, de ce lapin qui a fait un vide à Disney de son vivant. Mickey Mouse est né de ses même lignes, et il est impossible qu' il soit né sans que Oswald eut été de ce monde. Car sans Oswald, jamais Disney n' aurait commit l' erreur de ne pas breveter ses personnages, et c' est de cette erreur qu' il a mieux rebondit. Oswald est pourtant loin d' être une erreur puisqu' il demeure être aujourd' hui un phénomène de l' histoire de l' animation. Aujourd' hui, ce petit lapin malicieux renaît de ses cendres grâce à certains produits dérivés qui renouent un peu son ancienne popularité, à commencer par son apparition dans le jeu Wii "Epic Mickey" où il exprime toute sa rancoeur à Mickey, jusqu' à nos Disney Store où des peluches d' Oswald ou autres objets sont de nouveaux sur la toile.

"Tout a commencé par une souris." mais avant elle, il y avait un lapin inoubliable, et peu chanceux arraché des doigts de ses créateurs par des conspirateurs, un lapin du nom de Oswald...

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   Qui n'a jamais croisé le SPG dans la presse du coin, l'une des BD de ce bon vieux Picsou ? Super Picsou Géant (SPG) est un bimestriel qui a vu le jour en supplément de Picsou Magazine, en juillet 1977. Un sacré hors-série comme on en fait plus donc, bouquin d'une centaine de pages, rien que ca, réservé à notre Scrooge préféré.

   Le premier SPG ne porte pas le numéro 1, comme il est d'usage pour n' importe quel magazine, mais 65bis, pour la simple raison que ce premier hors série vit le jour avec le Picsou Magazine n°65. Il aura fallu attendre Mai 1983 pour que le numéro 1 de Super Picsou Géant atterrisse dans nos bonnes vieilles presses, et demeura un magazine à part entière. Le succès fut imminent, et le publique se l'arrachait. Au fil des années, le magazine traversa bien des époques, et évolua grandement. Alors que les premiers "bis" arboraient la signature de Walt Disney sur le côté blanc et le titre "Super Picsou Géant", leurs contenus n'étaient pas moins surprenants, mettant en scène des personnages de la firme pour le moins... étonnants, et bien loin des contenus de nos récents Picsou ou Mickey, tels que Mme Mime pour ne citer qu'elle. Le contenu du livre devait contenir à peine quelques dizaines de pages en couleurs ce qui, pour cette époque, était plutôt rare. Les BD, noires et blanches, étaient entre-coupées par divers astuces ou articles et quelques jeux.

Les premiers numéros suivirent la même voie, numérotés cette fois, toujours sur cette même bande blanche sur le côté. Cette fois-ci, son contenu diffère mettant principalement en scène les personnages phares des BD de la company avec Picsou, l'arrivée de Miss Tick, Mickey, Donald, Pat Hibulaire, Géo Trouvtou etc. ... Le contenu, beaucoup plus colorés, suivaient la même logique que les bis avec des astuces et divers jeux qui entrecoupaient les BD.

La suite s'enchaîne très vite avec cette fois, des magazines finis en papier glacé, tout en couleurs, numérotés en bandes de divers couleurs sur le côté et une icône de Picsou à chaque numéro différente. Jusqu'au n° 88, le SPG connu de nouveaux horizons, plus colorés, son contenu était plus rempli en jeu, et ces numéros seront reversibles, avec la toute nouvelle arrivée du "COUAC" ayant un thème toujours différent au fil des mois, subtilement présenté par Donald Duck et son cousin Popop (qui donne popoP à l'envers, et vice-versa).

En janvier 1999, la formule change, SPG est plus grand, plus gros, et offre un contenu plus complet ! Le COUAC subsiste toujours, et les magazines sont numérotés sur une bande rouge sur le côté, toujours avec cette icône de Picsou. Picsou son neveu et ses petits neveux vont vivre de plus grandes aventures, et bientôt, des séries vont être créées, suivant parfois 3 à quatre numéros. C'est aussi la naissance de "PK" ou Power Duck, mettant en scène Donald Duck dans la peau d'un super héros combattant le mal, dans un style dessiné très particuliers.

Une nouvelle génération est passée, et les numéros de notre époque, bien que conservant le même format, ont encore changé. La numérotation sur le côté a repris des couleurs pour chaque numéro, l'icône de Picsou disparaît plus ou moins puisqu'il met en scène divers de nos héros tels que Daisy, ou Donald. La section "COUAC" disparaît également, et "PK" devient "DD" ou Double Duck, double agent secret, toujours sur le personnage de Donald et avec ce style de dessin particulier.

Les SPG actuels prennent comme thème les contraintes et les actualités d'aujourd'hui avec des numéros qui traitent donc de l'écologie avec, par exemple, le numéro 150 dit "numéro vert"...

... le réchauffement climatique au numéro 156...

...ou encore la Coupe du Monde de Football avec le n° 158.

Tout laisse donc à présager un grand avenir à nos bons vieux SPG, et il est primordial que nos enfants puissent jouir d'une lecture à la fois amusante et intelligente, tout comme l'est le SPG, le Picsou Magazine et les divers Mickey Parade Géant. Par ailleurs, il est aussi très intéressant qu'ils découvrent ce que ces vieux numéros étaient, et quelles étaient les mentalités de l'époque. Alors les amis, tous à vos caves, greniers et garages pour rechercher vos vieux Picsou Magazines !

(Sources: Picsouman.free.fr, Wikipedia)

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   Est-il utile de vous présenter le chien le plus connu des célèbres studios Disney ? Pluto a vu le jour en 1930 selon les historiens de l'animation, à travers le film "La Symphonie Enchantée", mais ces chiens, les premiers modélisés sur le modèle de Pluto, n'était que le préambule du véritable Pluto. Plus tard, on le retrouvera  toujours en 1930 sur une modèle bien plus resemblant à ce qu'il devint par la suite et, bien qu'il ne fut encore que l'animal de compagnie de Minnie, on le baptisa Rover. Walt Disney voulut faire de lui une star, et il parvint d'ailleurs à ses fins puisque Pluto est devenu une véritable référence en matière d'animation animalière.

   On remarquera par ailleurs que Pluto demeure être l'un des rares personnages à ne pas parler. Il apparait être l'animal de compagnie de Mickey le plus souvent, et sera souvent l'allié de la petite équipe Donald, Dingo et Mickey. Pluto se devait de rester le compagnon que l'homme connait, avec toutefois des réactions très humaines sur le plan facial: tristesse, joie, colère, etc... En 1931, la star était née: le chien avait pris le nom de Pluto, et Disney avait fait de lui le personnage qu'il espérait. Walt Disney s'est par la suite dit qu'il se devait de créer la série propre au toutou, ce qu'il fit en 1932, et le succès fut sans précédent.

    Walt Disney était un amoureux de la race canine, et il fit part à son équipe d'un souvenir de gosse, un petit chien malicieux qui mettait sans-dessus-dessous la ville, mais à la fois très adorable quand on venait le taquiner. C'est ainsi que les dessinateurs, à partir de l'anecdote, créérent Pluto. Un gros coeur tendre, un gentil compagnon très joueur, un incorrigible troubleur lorsqu'il voit un chat, Pluto sait se faire pardonner avec une bouille innocente et un regard triste. C'est se qui caractérise le personnage de Pluto, chien fidèle, que son inspirateur a caricaturé à partir de ses propres traits, face à un mirroir, avec toutes les expressions.

   Pluto a fait son apparition dans les Silly Symphonies, lancement de sa carrière ô combien importante puisque de nombreux films d'aujourd'hui font référence à ses courts métrages, comme pour la célébre scène où Pluto se défend contre un papier tue-mouche, jusqu'aux profonds sentiments du subconscient de l'animal.

  Aujourd'hui fort populaire, Pluto a inspiré bien des personnages et continue à être une référence dans le monde moderne de l'animation avec des personnages tels que Benji la Malice ou Doug dans Là-Haut. De nombreuses pièces, de peluches représentant Pluto font le tour du Monde et représentent une valeur de grande collection. Pluto est un personnage mythique que nombres de personnes considèrent comme le meilleurs compagnon du monde de l'animation.

Andorphine